L'évolution de l'affaire opposant le député Ousmane Sonko à la jeune femme Adji Sarr, tient toujours en haleine l'opinion publique et plus particulièrement les hommes politiques.
Ainsi, Thierno Lo, ancien ministre sous le régime Wade, devant la presse ce samedi, a fait connaître sa position sur cette affaire qu'il n'a aucunement voulu esquiver : " Cette histoire qui tient le pays en haleine n'est qu'une chose qui s'est passée entre deux citoyens sénégalais. Il faut que les gens sachent aussi, que nous n'avons pas été présents au moment des faits. C'est pourquoi il faudra avoir une posture républicaine et attendre que le droit soit dit".
En plus, le président de l'Alliance pour la paix et le développement s'indigne de certaines positions partisanes, même s'il les respecte car nous sommes dans un pays démocratique. Il demande en revanche que chaque sénégalais exige que cette affaire soit tirée au clair. "Tout ce que nous aurons à dire avant la fin de l'enquête n'a pas de sens. N'allons pas trop vite en besogne pour parler de choses que nous ne maîtrisons pas..."
Il appelle ainsi les citoyens au sens de la responsabilité, à la sérénité et la retenue mais surtout au respect de la présomption d'innocence de l'accusé et les droits de la "victime".
Ainsi, Thierno Lo, ancien ministre sous le régime Wade, devant la presse ce samedi, a fait connaître sa position sur cette affaire qu'il n'a aucunement voulu esquiver : " Cette histoire qui tient le pays en haleine n'est qu'une chose qui s'est passée entre deux citoyens sénégalais. Il faut que les gens sachent aussi, que nous n'avons pas été présents au moment des faits. C'est pourquoi il faudra avoir une posture républicaine et attendre que le droit soit dit".
En plus, le président de l'Alliance pour la paix et le développement s'indigne de certaines positions partisanes, même s'il les respecte car nous sommes dans un pays démocratique. Il demande en revanche que chaque sénégalais exige que cette affaire soit tirée au clair. "Tout ce que nous aurons à dire avant la fin de l'enquête n'a pas de sens. N'allons pas trop vite en besogne pour parler de choses que nous ne maîtrisons pas..."
Il appelle ainsi les citoyens au sens de la responsabilité, à la sérénité et la retenue mais surtout au respect de la présomption d'innocence de l'accusé et les droits de la "victime".
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